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Kevin de chez Flizzer: Tout est bien qui finit bien

Des sous-vêtements techniquement raffinés et produits avec amour


Qui es-tu?

Hello, je suis Kevin de chez Flizzer. Notre endroit préféré, c’est le c*l, car c’est là que nos sous-vêtements doivent se trouver. Je suis fondateur et propriétaire de Flizzer. Depuis toujours, je suis un touche-à-tout.


Qu’apportes-tu sur le marché?

Actuellement, nous proposons des boxers moulants disponibles en 8 couleurs différentes. À partir du mois de Mai, nous fabriquerons également des modèles plus courts ainsi qu’une nouvelle collection pour femmes. Nous produisons délibérément nos articles dans une entreprise traditionnelle en Allemagne du Sud qui garantit une certaine qualité de fabrication. La durabilité est un critère fondamental chez nous. Par exemple, nous travaillons avec un fil high-tech composé de matériaux recyclés pour la ceinture de nos caleçons. Notre objectif principal pour ces prochaines années est de produire exclusivement des sous-vêtements entièrement recyclables sans que nos produits perdent en confort ni en qualité. Par ailleurs, nous nous engageons pour des causes sociales: Le traitement des commandes en ligne est effectué par des personnes handicapé·e·s. Ainsi, nous pouvons contribuer à leur intégration au quotidien.



Quand et comment cette idée vous est-elle venue?

Cette idée est venue dans la chambre à coucher, lorsque ma copine de l’époque a retiré mon pantalon, toute contente. Jusque-là, je n’achetais que des sous-vêtements en multipack et ne me souciais pas de leur aspect. Mes caleçons ressemblaient plus à un fromage Emmental qu’à des sous-vêtements. C’est à ce moment-là que j’ai commencé à m’intéresser aux sous-vêtements pour hommes.


À quoi ressemble votre quotidien?

Je travaille seulement à mi-temps pour Flizzer. J’ai un autre travail à côté. Je participe à la transformation de la Poste en un employeur agile et progressiste. C’est un exercice de haute voltige que de répondre à toutes les exigences. Mon quotidien chez Flizzer est très varié: Je me charge d’un peu de tout. Je m’occupe de répondre aux questions des client·e·s sur l’organisation de photoshoots comme d’optimiser la logistique. De plus, le lancement de la collection pour femmes est imminent. Je me retrouve ainsi deux à trois fois plus sollicité qu’habituellement.



As-tu déjà fait face à l’échec?

C ‘est-à-dire? Cette question a une tournure négative et ne correspond pas à ma manière de penser. En principe, nous apprenons toujours « on the job ». Nous commettons des erreurs, ce qui nous empêche parfois d’avancer plus vite. Par exemple, nous avons recommencé la mise en place de notre site internet trois fois. Et pourtant, il est certain que ces étapes supplémentaires auraient pu être évitées ;)


Quel est ton message au monde ainsi qu’à d’autres entrepreneurs et entrepreneuses comme toi?

Mon mot-clé, c’est „skills“ – Il s’agit de déterminer en équipe les compétences adéquates pour chaque phase, et de travailler en collaboration avec des gens qui veulent tout donner et se battre pour une cause qui leur tient à cœur.



Kevin, Berne

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